Branta canadensis
Conception en 2018
À paraître un jour en édition limitée
Branta canadensis est une œuvre à mi-chemin entre la vulgarisation scientifique et le contemplatif : c’est un récit sur la beauté du quotidien à travers un projet de recherche en écologie. L’œuvre tente de retracer les étapes d’un premier projet de suivi de population, de la récolte des données au traitement de celles-ci, en les intercalant de faits divers et d’images qui mettent en vedette l’été aux abords de Montréal et des îles de Varennes. Le récit s’installe alors que je, la narratrice, prends place à bord d’un camion en route vers mon terrain d’étude. Je raconte alors ma passion pour la Bernache du Canada (Branta canadensis, ici maxima), oiseau désagréable et craint par la population riveraine, dont plusieurs spécimens nichent sur les îles désignées. Avec une chronologie un peu déboitée, il est possible de me suivre dans les hautes herbes puis au laboratoire, tout en s’informant sur les nichées de cet oiseau bizarrement charismatique. Le récit léger porte à la rêverie : le lecteur sera surpris de comprendre qu’en fin de compte, le plaisir et la beauté d’un été n’est le résultat que de belles rencontres.
Conception en 2018
À paraître un jour en édition limitée
Branta canadensis est une œuvre à mi-chemin entre la vulgarisation scientifique et le contemplatif : c’est un récit sur la beauté du quotidien à travers un projet de recherche en écologie. L’œuvre tente de retracer les étapes d’un premier projet de suivi de population, de la récolte des données au traitement de celles-ci, en les intercalant de faits divers et d’images qui mettent en vedette l’été aux abords de Montréal et des îles de Varennes. Le récit s’installe alors que je, la narratrice, prends place à bord d’un camion en route vers mon terrain d’étude. Je raconte alors ma passion pour la Bernache du Canada (Branta canadensis, ici maxima), oiseau désagréable et craint par la population riveraine, dont plusieurs spécimens nichent sur les îles désignées. Avec une chronologie un peu déboitée, il est possible de me suivre dans les hautes herbes puis au laboratoire, tout en s’informant sur les nichées de cet oiseau bizarrement charismatique. Le récit léger porte à la rêverie : le lecteur sera surpris de comprendre qu’en fin de compte, le plaisir et la beauté d’un été n’est le résultat que de belles rencontres.
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